Accroissement de dettes du secteur privé : un danger pour l’économie française
Une exigence de fonds contracyclique a été établie par le Haut conseil de la stabilité financière ou HCSF. Cette politique économique a été mise en œuvre pour les banques françaises afin d’être plus prudent face à d’éventuelles crise économique. La Banque Centrale Européenne ou BCE serait d’ailleurs sur le point de mener un changement au niveau du taux directeur. Cela pourrait devenir néfaste pour l’économie en général.
L’incitation à l’endettement plus favorisée que jamais
La politique d’incitation aux emprunts permet aux acteurs privés de se plonger complètement dans l’endettement. L’accès aux prêts a été assoupli par les banques françaises. Les procédures d’octroi de prêt ont été revisitées. En seulement un an, le taux d’endettement du secteur privé a atteint le seuil des 6%. Plus rien n’arrêtent les ménages et les entreprises du secteur privé. Depuis le début de l’année 2019, la demande de crédit n’a cessé de s’accroître. Selon les données recueillies par les observateurs, la dette des acteurs privés équivaut à 133% de la richesse nationale. Elle dépasse largement la dette du secteur public qui est aux environs des 100%.
La contrainte de l’État français à accroître les dettes du secteur privé
Face à une décision de promouvoir les crédits, l’économie française a été vraiment dans l’opulence. En effet, les agents économiques notamment le secteur privé a recouru aux emprunts qui ont été offerts facilement. Chacun a constaté une baisse considérable du taux d’intérêt incitant à emprunter. L’échéance de remboursement a été non plus très souple. Ce qui a notamment stimuler la demande de crédit.
Cependant, une grande menace se dresse devant une économie plus ou moins affaiblie par un taux de surendettement accru. La BCE songerait à augmenter progressivement les taux d’intérêts. Ce qui pourrait créer l’effet de surprise à l’économie française.
Les mesures prises par le gouvernement français face à la décision de la BCE
Afin de faire face à d’éventuelle crise économique, le gouvernement français a mis en place quelques stratégies. Cela vise particulièrement les banques. Par l’intermédiaire du Haut Conseil de la stabilité financière, Bercy a encouragé les banques françaises à réserver des fonds propres. Cela permet de maintenir sa solvabilité malgré une décision de la BCE. En effet, l’exigence du HCSF repose sur un pourcentage de 0,5% par rapport aux avoirs de chaque banque. Les banques françaises considèrent cette décision du HCSF de déplacée. La thésaurisation constitue un frein pour l’activité de la banque. Ce qui contraignent ces acteurs économiques.
Cependant, les ménages et les acteurs du secteur privé peuvent profiter des taux directeurs encore bas. Chacun a donc un longueur d’avance face aux changements apportés par la BCE. Entre autres, le recours aux regroupements de crédit est conseillé en ce moment.
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